En parlant employez les mots et les expressions appris — КиберПедия 

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En parlant employez les mots et les expressions appris

2019-12-21 134
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1. Votre mère et vous, vous préparez un repas de fête, vous attendez du monde; votre mère vous parle de la qualité de différents produits et de l’importance qu’elle attache à la préparation de la nourriture. Dites quels plats vous avez choisis, quelles provisions vous avez déjà achetées. Comment allez-vous dresser la table?

2. C’est votre anniversaire. Vos amies sont venues chez vous pour vous aider à préparer le repas, mettre le couvert. Chacune propose de préparer son plat préféré. Vous choisissez ensemble le menu: hors-d’œuvre, plat principal, salades, fromage, dessert.

3. Vous allez au café après les examens. Vous demandez le menu et commandez les plats choisis. Le choix est assez riche (toutes sortes de salades, poisson dans la gelée, poulet rôti, gâteaux, café etc.) Le service est très bien organisé.

4. Vous travaillez comme interprète avec un groupe de Français. Vous déjeunez au restaurant. Vous traduisez aux Français ce que le garçon vous conseille de choisir. Les Français veulent surtout goûter quelque plat national. Les Français vous posent des questions sur le secret de la recette.

5. Vous voyagez en train et vous constatez que vous avez oublié votre sac avec des provisions. Vous voulez aller dîner au wagon-restaurant mais vos compagnons de route vous invitent à partager leur repas abondant (œufs durs, poulet rôti, poisson frit, cornichons, tomates, saucissons, fromage, champignons marinés, jus). Vous acceptez l’invitation?

6. Vos amis viennent chez vous à votre résidence de campagne. C’est surtout les légumes et les fruits que vous servez et puis le thé et le café suivant les goûts. Après le repas vos amis vous aident à débarrasser la table de la vaisselle, à faire la vaisselle et à la ranger.

Dialogues à apprendre Dialogue 1

- J'ai une faim de loup. Et j’adore la cuisine française.

- Moi aussi, je meurs de faim et je crois que la connaissance d’un peuple passe aussi par sa cuisine.

- Absolument. Qu’est-ce qu’on prend, M. Dufy? Une escalope? Une grillade?

- Je n’aime pas les grillades. Je préfère le poisson. Mais regardons la carte. Mince. J’ai oublié mes lunettes. Voulez-vous la lire?

- Mais certainement. Je pense que cette carte nous convient parfaitement. Voyons, qu’est-ce qu’on va boire avec ça? Du vin?

- Je boirais volontiers du vin, mais le même vin pour tout le repas, si vous voulez bien.

- Tout à fait d’accord. Je suis comme vous. Je supporte mal les mélanges. Du rouge ou du blanc?

- Je préfère le rouge, et léger, si possible. Un bordeaux ou un beaujolais, par exemple.

- Apportez-nous une demi-bouteille de vin rouge, s’il vous plaît. Et pour votre, qu’est-ce que nous prenons? Elle doit arriver dans quelques secondes, n’est-ce pas?

- Oui, pour Madeleine, on ne prend qu’un citron pressé. Et c’est tout.

- Elle suit un régime, votre femme?

- Pas uniquement. Elle est fidèle à quatre principes.

- Ah, bon. Ça, c’est curieux. Pouvez-vous nous confier son secret?

- Mais certainement. Son premier principe: manger «utile». Elle surveille strictement sa nourriture. Elle dit: «Je mange pour vivre et pas l’inverse». Son deuxième principe: une discipline sur le plan physique.

- C’est raisonnable. C’est ce que je fais moi-même. Quand je suis fatigué, énervé, pas dans mon assiette, je marche. Je le fais par n’importe quel temps. Pour les nerfs il n’y a rien de mieux.

- Je suis de votre avis.

- Bon, et son troisième principe?

- C’est de se soigner: surveiller sa santé, prendre des vitamines. Et enfin, le quatrième principe: une philosophie de vie. Essayer d’être heureuse tous les jours. Donc, savoir profiter de tous les petits instants agréables et de ne pas se créer de problèmes inutiles.

- Autrement dit, prendre les choses comme elles sont. Voir le beau côté des choses. En effet, ça donne à réfléchir. A vrai dire, ce n’est pas toujours facile à réaliser. Mais il est à noter que vous avez de la chance d’avoir une femme pareille.

- Je suis de votre avis.

Dialogue 2. - Excusez-moi, Monsieur. J’ai besoin d’un conseil. Où est-ce que je pourrais prendre mes repas?

- Vous pouvez manger dans notre hôtel, bien sûr. Le choix de plats est assez grand. Mais c’est un peu plus cher qu’en ville.

- Alors vous pourriez m’indiquer un restaurant en ville, moyen, confortable, pas trop cher?

- Oui. J’en connais un tout près d’ici, on y mange très bien et ce n’est pas cher. Il est à côté du cinéma «L’Odéon».

- Merci, Monsieur. J’ai compris.

- Mais parfois si vous êtes pressé vous pouvez manger au snac.

- Au snac? C’est quoi le snac?

- C’est un café-restaurant moderne ou l’on sert les plats rapidement. A toute heure vous pourriez y manger du poulet ou bifteck-frites, une omelette au jambon et toutes sortes de sandwiches.

- Merci. C’est vraiment très pratique quand on n’a pas beaucoup de temps.

- C’est vrai, Monsieur. De nos jours quand tout le monde est pressé et on n’a pas de temps à perdre, il y a encore une formule assez récente «Des fast-foods».

- Il me semble que j’ai entendu parler de cette dernière invention. C’est un restaurant à services très rapides où la nourriture peut être préparée et consommée en 5 minutes. Dans ce restaurant on réchauffe un plat déjà cuisiné et conservé.

- C’est ça, Monsieur.

- A mon avis c’est très bien.

- Ah non, Monsieur, je ne suis pas d’accord avec vous. Voyez-vous, nous autres Français, nous aimons la bonne cuisine. Et pour l’apprécier, il faut du temps. La gastronomie c’est un art, Monsieur. Dans tous ces snac-bars, fast-foods, drugstores la cuisine n’est pas fameuse. Mais c’est pratique, j’en conviens.

- Merci pour vos conseils, Monsieur. Ils me sont très utiles.

- A votre service, Monsieur.

Dialogue 3 M - Voilà la carte, M-me Dufy. Qu’est-ce que nous prendrons? Peut-être les anchois?

Mme - Les anchois, c’est trop salé. Oh, il y a aussi un poulet sauté Mireille. Et des abricots Mireille dans les desserts.

M - Pourquoi avez-vous tous ces plats qui s’appellent Mireille?

Le garçon - Ah, ça, Monsieur, c’est toute une histoire! une histoire bien triste. Notre chef avait, dans sa jeunesse, une petite amie qui s’appelait Mireille, et qui est morte d’une indigestion de crevettes roses. Il est inconsolable, et il dédie à sa mémoire toutes ses brillantes créations culinaires.

M - C’est très touchant. Et c’est comment, ce poulet Mireille? Le garçon - Sauté avec des aubergines et des tomates. On fait sauter des morceaux de poulet dans l’huile très chaude, puis on garnit de tranches d’ aubergines frites et de tomates sautées.

Mme - Bon, eh bien moi, je crois que je vais prendre une petite grillade, une entrecôte.

M - Et pour moi, ce sera un steak au poivre.

Le garçon - Et comme cuisson, pour la grillade?

Mme - Pour moi, à point, s’il vous plaît.

M - Et pour moi, bleu.

Le garço n - Et pour commencer?

Mme - Pour moi, une assiette de saumon cru.

M - Vous n’avez pas d’escargots?

Le garçon - Non, Monsieur, je regrette.

M - Dommage, eh bien, je vais prendre une douzaine d’huîtres. Et vous nous apporterez une bouteille de mouscadet et une demi- bouteille de moulin- à-vent. Et une demi- bouteille d’eau minérale.

Le garçon apporte les hors-d’œuvre. - Le saumon, c’est pour Madame, et les huîtres, c’est pour Monsieur. Vous prenez du fromage?

Mme - Qu’est-ce que vous avez?

Le garçon - Camembert, roquefort, pont-l’évêque, saint-andré, chavignol, ça aussi, c’est un chèvre.

M - Bon, eh bien, je prends un peu de saint-andré.

Le garçon - Et pour Madame?

Mme - Pour moi, un peu de chèvre.

Le garçon - Vous désirez un dessert?

Mme - Oh non, pas de dessert pour moi, je n’ai plus faim.

M - Voyons ce que vous avez.

Le garcon – Tarte aux framboises, tarte au citron, charlotte aux poires, mousse au chocolat et les sorbets, et la coupe Privas.

Mme – Qu’est-ce que c’est, votre coupe Privas?

Le garcon – Ce sont des marrons glacés, avec du cognac, de la glace à la vanille et de la crème fraîche par-dessus.

Mme – Bon, je prendrai ça.

M – Et en avant les calories! Heureusement que tu n’avais pas faim! Pour moi, ce sera un sorbet framboise. Et vous nous apporterez deux express, et l’addition, s’il vous plaît.

Dialogue 4

L’épicier – Bonjour, petite. Comment ça va?

Michelle – Bof! Ça pourrait aller mieux. Je suis crevée.

L’épicier – Et moi donc? On ouvre à 7 heures. Bon, qu’est-ce qu’il te faut?

M – Un paquet de biscottes, du beurre, de l’eau minérale, du fromage…

L’épicier – Hé! Attends! Attends! Voilà du beurre et des biscottes. L’eau minérale, c’est derrière toi…le gruyère, il t’en faut combien?

M – 500 gr, hé, dis-donc, le camembert que tu m’as vendu hier, il est pas bon, hein? On dirait du plâtre.

L’épicier – Tu aurais dû m’écouter, ma petite. Je t’avais bien conseillé le brie, hein? Oui ou non?

M – Oui, oui. Tu m’as conseillé le brie. Et le gruyère, tu me le conseilles?

L’épicier – Bien sûr. Fais-moi confiance. Voilà. Et avec ça?

M – Ce sera tout. Je te dois combien?

L’épicier – 65 francs. Merci. Salut, Michelle. Donne le bonjour de ma part à Polo.

M – D’accord. Salut, Bernard.

Dialogue 5

Laurence – Aujourd’hui nous offrons un dîner de fête à quelques amis à l’occasion de l’anniversaire de ma fille aînée Nathalie. Il est beau temps de nous entretenir du menu.

Marie – Nous préparons comme hors-d’œuvre une salade, un hareng garni, des esprots, du caviar et du jambon.

L. – Et comme potage – un bouillon de poule avec de petits pâtés; en fait de poisson – de la sandre frite; puis un ragoût de viande et des légumes. Que préfère Nathalie pour le dessert?

M. – Elle adore des glaces plombières et des fruits. Et qu’aurons-nous comme vins?

L. – Deux bouteilles de champagne, du vin doux pour les femmes et du vin sec.

M. – Il faut préparer aussi un gâteau à la crème pour le thé, n’est-ce pas, Laurine?

L. – Oui, il le faut absolument. Je me charge de le préparer de même que les petits pâtés. Et toi, tu feras cuire le bouillon et tu prépareras le ragoût. Tu sais la recette du consommé?

M. – A peu près. On prend une belle poule plumée, jeune, bien en chair. On la vide, flambe et lave à grande eau. Puis on la met dans une casserole remplie d’eau et laisse bouillir en écumant de temps en temps.

L. – N’oublie pas d’ajouter une carotte et un oignon et fais bouillir à petit feu.

M. – Tu réussis parfaitement à préparer les gâteaux. Veux-tu découvrir ton secret?

L. – Pas de secret. Voilà, je casse cinq œufs en séparant les blancs des jaunes et je mélange ceux-ci avec deux verres de sucre dans un bol. On bat les blancs en neige. Les jaunes bien battus, j’y ajoute deux verres de farine et un peu de vanille. Après avoir mélangé le tout, je beurre un moule et y verse ma pâte. Je mets le moule au four à feu doux.

M. – Le reste m’est connu. Au bout de 35 ou 40 minutes le gâteau est prêt. Quand il s’est refroidi, tu l’arroses de crème fouettée et garnis de fruits confits. C’est délicieux à s’en lécher les babines.

L. – Voyons, Marie, il est déjà trois heures passées. Les convives vont être bientôt là. Il faut vite mettre le couvert.

M. – Quelle nappe faut-il mettre et combien de couverts?

L. – Tu mettras cette nappe blanche à carreaux et dix couverts, des petits verres pour le vin et des coupes pour le champagne.

M. – La table est presque servie. Un grand bouquet de fleurs posé au milieu achève de lui donner un air de fête. Maintenant je suis satisfaite.

L. – Il est grand temps de mettre nos belles robes, car les convives arrivent.

Dialogue 6

A la boulangerie

- Madame! Comment allez-vous?

- Bonjour, Monsieur! Merci! Ça va bien. Et vous-même?

- Pas mal. Merci. Votre fils aîné, comment va-t-il? Ça fait déjà depuis longtemps que je ne l’ai pas vu.

- Oh, vous savez, Monsieur, c’est bien vrai. Il est allé à Lyon.

- Ah bon! Pour quoi faire?

- Oh! Ces jeunes, ils veulent toujours quelque chose. Mais vous voudriez, Monsieur?

- Je voudrais bien avoir deux baguettes et quatre croissants pour ce matin, s’il vous plaît. Mais qu’est-ce qu’il veut, votre fils?

- Voilà, Monsieur. Vous savez, les jeunes aujourd’hui, ils désirent être indépendants. Et lui, il préfère s’occuper de la cuisine française. Enfin, je ne sais pas au juste. Et avec ça, Monsieur?

- Est-ce que je peux avoir quelques specialités de la maison? A propos, les prix n’ont-ils pas changé? Mais il me semble que votre fils était toujours intéressé à la cuisine?

- Oui, c’est bien ça. Mais il lui faut apprendre d’abord le métier pour cela, d’ailleurs, vous m’avez demandé les prix. Pour l’instant, ils sont stables. Mais on ne sait jamais. La vie nous offre toujours des surprises. Voilà le cas de mon fils. Son choix nous demandera de l’argent. Mais, Monsieur, je suis bavarde aujourd’hui, excusez-moi!

- Cela ne fait rien, Madame. Je suis libre et ça me fait plaisir de causer un peu.

- Ce matin nous avons un grand choix. Mais je vous recommande surtout pains de marrons, gâteaux de Pithiviers, tartes agenaises. Regardez et choisissez! Je crois que presque tous les jeunes sont un peu désorientés dans la vie. - Oui, Madame. Vous avez raison. C’est juste mon cas. Le mien fait pareil. Mais aujourd’hui c’est son anniversaire. Il faut bien qu’on lui fasse une petite fête.

- Mais bien sûr. Je vous comprends très bien. Donc, qu’est-ce que vous prenez?

- Je prends alors un pain de marrons. Vous savez que chez nous tout le monde l’adore, surtout mon fils. Tout cela, cela me fait combien?

- Un instant, Monsieur. Voilà, ça y est! Cela fait 128 francs.

- Voilà, tenez, Madame.

- Voulez-vous que je vous mette tout ça dans la boîte et dans le sachet?

- Je vous en prie. C’est bien gentil. Au revoir, Madame, et merci bien.

- C’est moi. On est toujours à votre service! Bon après-midi! mes meilleurs vœux à votre fils.

- Merci beaucoup, Madame. A la prochaine!

Dialogue 7

Steak au poivre

Jeunes gens, Pascal et Sylvie sont amis; Monique est la mère de Pascal.

- Qu’est-ce qu’on fait?

- Je ne sais pas, moi. Il faut que je rentre à la maison. Tu m’accompagnes?

- Si nous allions plutôt chez moi? Ma mère est partie pour l’Italie avec Maurice.

- Tu es tout seul dans l’appartement?

- Eh oui!

- Quand revient-elle, Monique? demanda-t-elle.

- Mystère! Après les fêtes, sans doute. J’attends une lettre.

- Et comment t’arranges-tu tout seul? Qui fait ton ménage?

- La concierge. C’est elle aussi qui me ravitaille et qui s’occupe de la cuisine. Sauf le soir. Là, je me débrouille à mon idée. Ma spécialité, c’est le steak au poivre. Tu ne me crois pas? Viens voir!

Egayée par son entrain, elle le suivit à la cuisine. Il prit une poêle, noua un tablier autour de ses reins, ouvrit le réfrigérateur.

- Tu ne vas pas cuire un steak maintenant! dit-elle en riant.

- Pourquoi pas?

- Il est cinq heures!

- Et alors? J’ai rien mangé à midi. J’ai une de ces faims! Pas toi?

- Si.

Avec ses gestes élégants d’escamoteur, il disposa une tranche de viande sur la poêle, ajouta un filet d’huile, un morceau de beurre, porta le tout sur le feu. Sylvie l’admirait pour sa dextérité et son assurance. Il se dandinait, sifflotait en remuant la queue de la poêle. Comme il l’inclinait un peu trop, la flamme bondit, lécha la viande, éclaira par en bas le visage joyeux du cuisinier. Avec ses grandes oreilles décollées, il ressembla soudain à un diable facétieux. Ses prunelles, ses dents brillaient de bonheur.

- Tu vas mettre le feu à la maison! s’écria-t-elle.

- Mais non, dit-il. Rassure-toi. Il faut que le dessus crame un peu pour que ce soit bon!

Il redressa la poêle qui fumait. Une rustique odeur de viande grillée se répandait dans la cuisine. Pascal, imperturbable, allait et venait, imitant un chef prestigieux dans son domaine. Comme il était drôle, imprévu et gentil! Maintenant, il tournait vigoureusement le moulin à poivre au-dessus du steak.

- Tu en mets dix fois trop! dit-elle.

- Penses-tu! C’est indispensable pour en relever le goût!

Aussitôt après, courbé en deux, la serviette sur le bras, il annonça:

- Madame, est servie.

Ils s’attablèrent près du réfrigérateur.

- Tu me coupes un minuscule morceau, dit-elle. C’est juste pour goûter.


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